Aujourd'hui, nous recueillons le témoignage et l’avis de notre patiente, Cécile, qui a refait sa poitrine en juin 2022.
Après des mois de recherche et de réflexion, Cécile a décidé de subir une chirurgie d'augmentation mammaire. Elle sentait que ses seins étaient trop petits et en avait assez de porter le poids parfois lourd de ce complexe.
Après avoir recherché différentes cliniques chirurgicales en Tunisie, elle a opté pour notre établissement. Elle partage son expérience avec nous ici.
Ma décision trouve son origine dans mon adolescence quelque peu agitée. À l’âge où toutes les filles se voient transformer en femme, je n’ai pas vécu cette période de la meilleure des manières. Des dérèglements hormonaux firent irruption pour pourrir ma vie de jeune femme.
À 18 ans, alors que j’avais déjà mes règles depuis l'âge de 12 ans aucun changement physique n’avait eu lieu. Mon corps était resté inchangé. Ma poitrine était toujours aussi plate que je me retrouvais en dessous d’un petit bonnet A, même Jane Birkin paraissait plus pulpeuse que je ne l’étais !
Le déclic
Mes relations ont longtemps souffert de ce complexe que j’ai longtemps trainé. Ma poitrine, plutôt ce qu’on pouvait désigner comme poitrine était devenu pour moi un sujet sensible.
Les hommes que j'ai connus ont été pour la plupart, très à l'aise avec ma poitrine plate. Cependant, je ne pouvais pas enlever mon soutien-gorge.
Malgré ma bonne volonté, je n'arrivais pas à me résoudre à enlever mon soutien-gorge. C'est alors que mon amie a suggéré une intervention chirurgicale pour résoudre le problème.
Elle a vanté les mérites d'une telle intervention. car elle s'est fait refaire les seins... Je devais donc me décider, mais une inquiétude me tournait en boucle dans ma tête : pour qui est-ce que je fais ça ? Pour moi-même? Les autres ? La réponse me semblait évidente, il n'y a que moi qui compte.
Habitées par mes doutes, je fais mes recherches sur Internet, la Tunisie avait un bon savoir faire en chirurgie esthétique du coup j‘ai porté mes recherches sur ce pays, la France me paraissait trop chère. Il fait dire que j'avais peur de devenir une de ces bimbo avec des seins artificiels.. C’était là une chose que je tenais à éviter à tout prix.
Durant l‘entretien préliminaire, le chirurgien m’a montré une fois encore que c’était un choix que je devais faire toute seule et pour la bonne raison : mon bien-être.
Ce qui m‘a rassurée c‘était la prise en charge post opératoire non seulement en Tunisie mais qui se poursuit en France avec un chirurgien sur place, du coup ça m‘a beaucoup rassurée de faire l‘intervention avec vous !
J’ai alors décidé de me faire le nécessaire. On a donc poursuivi la consultation sans crainte
L’opération
L’opération proprement parlée n’a duré que 45 min. L’opération s’est passée sous anesthésie générale. Me référant à ma propre expérience, j’ai à peine eu le temps de souffler que l’opération était terminée. Rentrée au bloc à 11 h, j’en suis sorti à midi et les effets de l’anesthésie se sont estompés vers 13 h.
Les 24 h qui ont suivi l’opération étaient caractérisés par une sensation nouvelle, celle d’un poids posé sur la poitrine et des courbatures. Malgré cela, grâce au médicaments, la douleur était gérable.
La libération
C’est au moment où j’ai enlever le soutien gorge pour changer les pansement pour la première fois que me suis sentie bien dans mon corps, que je me suis dit que la douleur ressentie n’était pas chère payée.
Le résultat visuel et psychologique était à la hauteur des attentes. Je pouvais enfin me regarder dans un miroir et être fière. Je pouvais enfin me rendre dans un magasin de lingerie sans acheter des soutiens gorges rembourrés. Il n’y a rien de comparable au plaisir de pouvoir acheter les sous-vêtements de son choix.
Grâce à cette opération, non seulement ma silhouette avait changé, mais également ma confiance en moi et aussi le regards des autres .
Presque un mois s'est écoulé depuis que j'ai fait ce choix. et aujourd’hui j’en profite pleinement. Je me sens plus confiante. Étant moi aussi satisfaite du résultat, je ne peux que conseiller cela à toutes les femmes qui passent par la même situation que moi et qui ont les moyens de s’offrir une telle opération.
Les cicatrices de l’opération qui apparaissent ne sont pas bien graves lorsqu’on se focalise sur le rendu final.
Les critiques sont inévitables, mais les plus acerbes viennent de celles n’ayant jamais connu un tel complexe. Mon seul conseil si vous envisagez une telle opération est de n’écouter que vous et vos besoins. Toutefois, on n’est jamais à l’abri des mauvaises surprises.
Faites donc très attention au choix du chirurgien et des prothèses à utiliser. N’oubliez pas qu’un suivi régulier est indispensable pour assurer la longévité de l’implant.